======Sujet de TP : Mise en œuvre de Docker Swarm ====== ====Remarque==== Ce TP n'est pas noté. Pour ce TP vous devez créer 3 machines virtuelles par groupe, or le projet ne permet la création que de 120 machines environ. Il est donc très important de travailler en binôme et de supprimer les machines erronées que vous pouvez créer aujourd'hui. ====Introduction ==== L'objectif de ce TP est de se familiariser avec la solution de clusterisation proposée par Docker et nommée //Swarm//. Comme vu en cours, il existe des solutions alternatives que nous n'explorerons pas dans le cadre de ce TP (ex: //Kubernetes//). Nous nous appuierons sur l'infrastructure OpenStack de l'IFI [[http://10.10.30.11/horizon]]. Pour obtenir des informations sur comment se connecter : voir le TP précédant. Dans le projet **Cloud** nous déploierons au préalable 3 petites machines virtuelles (''small'' est suffisant). L'une sera utilisée comme //Manager//, et les deux autres comme //Worker//. Attention : Pour ce TP nous avons préparé une image avec un //docker// pré-installé et pré-configuré qui fonctionne à l'université. Vous devez créer vos instances à partir d'un //snapshot// de volume nommé ''snap-docker-ready''. Si vous utilisez des machines en dehors de l'université, installez bien une version de docker récente (>=1.12) et le paquet ''docker-engine'' dont l'installation est [[https://docs.docker.com/engine/installation/|décrite ici]]. Le paquet ''docker.io'' présent par exemple sur //Ubuntu// est justement une version de //docker// sans //Swarm//. =====Partie I : Installation de Docker Swarm===== L'installation de base se fait à présent de manière très simple. Tout d'abord sur la VM qui hébegera le manager : docker swarm init --advertise-addr 192.168.XXX.YYY * **Que fait cette commande ? Expliquez/Décrivez succinctement.**. Vous pouvez utiliser la commande ''%%docker swarm init --help%%'' pour avoi rune information sur les paramètres. Puis sur chacun des //workers// # docker swarm join --token letokenrenvoyeparleswarminit 192.168.XXX.YYY:2377 * **Que fait cette commande ? Expliquez/Décrivez succinctement.** **Remarque** : Pour chacune des questions vous trouverez des éléments de réponse dans la documentation officielle de Docker Swarm. - [[https://docs.docker.com/engine/reference/commandline/swarm_init/]] - [[https://docs.docker.com/engine/reference/commandline/swarm_join/]] **//NB//**: Une fois le cluster installé, la commande ci-dessous vous permettra d'avoir un visualiseur de votre infrastructure déployée ([[http://IPDEVOTREVM:8080]]): docker service create --name=viz --publish=8080:8080/tcp --constraint=node.role==manager \ --mount=type=bind,src=/var/run/docker.sock,dst=/var/run/docker.sock \ dockersamples/visualizer * **Quelle commande peut-on utiliser pour lister et vérifier la liste des //workers// à disposition ?** * **Imaginons que vous souhaitiez ajouter un nouveau nœud //worker// et que vous avez égaré le token de votre cluster swarm. Quelle commande vous permet de le récupérer ?** * **Est il possible d'avoir plusieurs machines qui tiennent le rôle de manager (au même titre que plusieurs machines sont des //workers//). Comment fonctionnent t-ils ?** * **Sortez un //worker// du cluster puis remettez-le. Quelles commandes saisissez-vous ?** ===== Partie II : Usage d'un cluster swarm===== Exécutons trois instances de //nginx// dans notre //cluster swarm//. (manager)# docker service create --name Web --publish 80:80 --replicas=3 nginx:latest * **Quelle commande utilise-t-on pour lister tous les services créés ?** * **Quelle commande utilise-t-on pour lister toutes les instances du service ?** * **Quelle commande utilise-t-on pour obtenir des informations détaillées sur un service ? (inspect)** == Comment étendre un service ?== Afin d'avoir à présent cinq instances de notre service (manager)# docker service scale Web=5 On peut également réduire le nombre de services (scale down) (manager)# docker service scale Web=1 Supprimons à présent notre service (manager)# docker service rm Web ==Maintient automatique du service== Si nous avons défini un service avec un nombre donné de //replicas//, le Swarm manager est en charge de s'assurer de maintenir cet état. Pour vous en assurer : * instanciez trois réplicas d'un service (voir commande précédente); * Connectez vous sur l'une des machines de travail hébergeant l'un de ces réplicas et détruisez brutalement le docker (''docker kill ...''). * **Que se passe t-il au bout de quelques secondes ?** * **À présent stoppez directement la machine de travail. Que se passe-t-il ?** ===== Partie III : Gestion des nœuds composant le cluster ===== * On souhaite éteindre un nœud physique (de type worker) pour effectuer une opération de maintenance sur ce dernier. **Quelle procédure aller vous suivre (ou Quelles commandes allez vous saisir) pour faire cela proprement ?** * Expliquez brièvement la notion de promotion d'un nœud worker (promote/demote). =====Partie IV : Réseau overlay ===== Supprimez tous les services utilisés précédemment, vous allez en relancer un seul avec un unique réplicas : docker service create --name nginx -p 80:80 --replicas 1 nginx Ensuite, retrouvez sur quel nœud de calcul se trouve le docker. Le nom du docker est un peu différent du nom du service, Grâce à la commande docker logs -f nginx.x.yyyyyyyyyyy Afficher les logs du docker nginx. Puis avec votre navigateur tentez de contacter le serveur web sur vos 3 machines. * **Que constatez-vous ?** * **Quel réseau utilise le docker ? (utilisez la commande ''docker inspect ...'')** * **Afficher la liste des réseaux, quel est le //driver// de ce réseau ?** === Créez votre réseau overlay=== * Créer un réseau ''172.21.21.0/24'' avec le driver //overlay// ayant pour nom //reseau// (sans accent). Ajoutez lors de sa création l'option ''attachable''. Cette option vous permettra de créer des dockers utilisant le réseau sans être géré par swarm. * Déployer sur le réseau nouvellement créer 3 réplicas du service nginx. Observez l'adressage IP. ===== Partie V : Création d'un registry privé ===== Vous avez vu lors du TP précédant que le cluster swarm pouvait facilement lancer des dockers basés sur des images publiques. Mais pour le moment vous ne pouvez pas le faire avec des images construites via un //dockerfile//. Pour éviter cette limite, il faut installer un dépôt docker privé dans lequel vous placerez et téléchargerez les images que vous avez générées. Vous trouverez la [[https://docs.docker.com/registry/|documentation ici]] Attention, les //registry// que vous pouvez facilement utiliser sont des //registry// locaux c'est à dire que leur adresse est ''localhost''. En effet, pour autoriser un //registry// distant, il faut gérer des certificats d'authentification SSL ce qui est hors du cadre de ce cours. Vous allez donc créer un unique docker registry qui répondra à l'adresse ''localhost:5000'' sur plusieurs machines virtuelles. Cela n'est possible que grâce au cluster swarm qui va s'occuper pour vous de la redirection des paquets. * Dans le cluster //swarm//, créer un service ''registry'' qui partage le port 5000 avec toutes les machines du cluster. * Sur quel nœud ce dernier est-il instancié ? * Le registry est un nœud de stockage, si l'ordonnanceur décide de le déplacer, toutes les images qu'il contient seront effacées. Pour éviter cela, supprimez le service et recréez le en imposant qu'il soit instancié sur le nœud maitre. * Testez sa réponse à l'adresse localhost en vous connectant sur la machine virtuelle qui ne fait pas tourner le service *registry*. Pour ce faire vous pouvez *pull* une image officielle et la *tagger*. Ensuite vous la *push* sur localhost et supprimé les deux images (celle récupéré via le pull et celle taggée). Enfin, faite un pull sur localhost de l'image taggée. === Exploration du registry === Le //registry// semble un peu abstrait car il ne permet pas facilement d'explorer son contenu. Mais il y a des services spécialisés dans cette exploration que vous pouvez bien sur installer sous forme de conteneurs. * Installez un service d'exploration du //registry// comme celui-ci [[https://store.docker.com/r/konradkleine/docker-registry-frontend]] via la commande docker service create -d --network reseau -e ENV_DOCKER_REGISTRY_HOST=registry \ -e ENV_DOCKER_REGISTRY_PORT=5000 -p 8443:80 --name regbrowser \ konradkleine/docker-registry-frontend:v2 Consultez la page [[http://IP_DE_VOTRE_VM/8443]] et explorez le contenu du registry. ===== Partie VI Utilisation d'un stockage partagé ===== La gestion des données persistante est un problème dans ce type de cluster, car l'ordonnanceur est susceptible de déplacer le conteneur à tout moment. Si ce conteneur détient des données, rien n'est a priori prévu pour déplacer les données sur nouveau nœud. Une première méthode est d'interdire ce déplacement. C'est ce qui est utilisé pour le //registry// de la question précédente. Mais cela n'est pas idéal. Prenons le cas d'un docker implémentant un notebook jupyter : {{ :cloud:2019:notebooktoto.zip |}}. Dans l'archive, il y a un fichier ''Dockerfile'' et un ''docker-compose'' qui permettent de lancer le conteneur en tant que service dans le cluster. * Construisez l'image ''localhost:5000/notebookplop_notebook'' à partir du ''Dockerfile'' * Supprimer le service de visualisation qui utilise le même port (''8080'') que celui qu'on veut utiliser maintenant. * Placez la dans le registre. * Lancez le service via la commande ''docker stack deploy'' docker stack deploy --compose-file docker-compose.yml notebook * Vérifiez son lancement, le conteneur doit se lancer sur l'un des nœuds workers la suite du TP. Si ce n'est pas le cas et qu'il est lancé sur le maitre, il faut recommencer le lancement du service en supprimant les services qui encombrent les nœuds workers que l'ordonnanceur les choisisse et en en utilisant une contrainte pour interdire l'utilisation du maitre. * Sur le //notebook//, le mot de passe est ''toto''. Créez un fichier dans le répertoire ''work'' avec un code python simple par exemple celui-ci qui affiche l'adresse IP et le ''hostname'' du docker : import socket def get_Host_name_IP(): try: host_name = socket.gethostname() host_ip = socket.gethostbyname(host_name) print("Hostname : ",host_name) print("IP : ",host_ip) except: print("Unable to get Hostname and IP") # Driver code get_Host_name_IP() #Function call * Sauvez bien le fichier. * Forcez le déplacement du docker en plaçant le nœud qui le porte en mode ''drain''. Une fois que vous avez constaté le déplacement du conteneur, replacer le nœud en mode ''active''. * Reloguez-vous sur le service, vous avez perdu votre travail. En effet, le volume contenant le répertoire ''work'' est uniquement présent sur la machine qui exécutait le docker au départ, il a donc été perdu. Pour résoudre le problème, il faut utiliser un volume présent sur tous les nœuds du cluster. Pour cela, il faut utiliser un partage de fichier et un driver spécial pour les volumes qui permet de s'y connecter. Le driver le plus simple à utiliser sous docker swarm est NFS, il n'est pas idéal, car il n'est pas adapté à la plupart des besoins des services (ne l'utilisez pas pour une base de donnée par exemple). Le serveur nfs préparé pour le TP est 192.168.76.5 (dans le projet TIW7) et 192.168.246.27 (dans le projet IGA) * Installez un client NFS sur **chacun des noeuds** (c'est à dire le paquet ''nfs-common'') * Vérifiez le fonctionnement en montant le répertoire partagé ''192.168.76.5:/exports/p1VOTRENUMEROETUDIANT'' dans le répertoire local ''/tmp/toto''. N'oubliez pas de le démonter ensuite, mais conservez le montage NFS sur le noeud maitre. $ sudo mkdir -p /mnt/partage $ sudo mount -t nfs ADRESSEIPSERVEUR:REPERTOIRESURLESERVEUR /mnt/partage # On peut vérifier le montage par la commande df et démonter par umount * Dans le ''docker-compose'' modifiez la définition du volume ''works'' pour qu'il utilise votre partage NFS. Pour cela vous pouvez consulter [[https://docs.docker.com/compose/compose-file/#driver_opts|la documentation]]. * Supprimez puis relancez le service, ajoutez un fichier au répertoire ''work''. * Vous pouvez constater que le fichier est sauvegardé dans le répertoire monté par NFS. * Refaites la manipulation pour déplacer le service, vous devez retrouver votre travail dans le nouveau docker. Est-ce suffisant pour créer un cluster de ''notebook'' ? * Augmentez le service en demandant 2 réplicas. Essayez de l'utiliser. Cela ne fonctionne pas. Pourquoi ? ===== Partie VI : préparation de la suite du TP ===== Pour la suite du TP nous allons recréer les 2 worker, il va donc falloir les supprimer //proprement//. * supprimez tous les services en ne conservant que les service ''regbrowser'', ''viz'' et ''registry'' (a priori il faut supprimer les services ''nginx'' et le //stack// ''notebook''). * Modifiez les 2 //workers// pour les vider de leur dockers. Vous constatez que les services sont déplacés sur le manager (qui est le seul nœud encore utilisable du cluster). * Si le //registry// a été déplacé, regardez une nouvelle fois son contenu. Il est vide ! Expliquez pourquoi. * Il est important d'avoir un //registry// disponible et qui ne perde pas son contenu. En cas e besoin refaites le en imposant comme contrainte qu'il soit sur le noeud manager. * Retirez les //workers// du cluster =====Partie VII: Docker Machine ===== [[https://docs.docker.com/machine/overview/|Docker machine]] est un script qui permet de générer des machines virtuelles et d'installer docker automatiquement. Il est capable d'utiliser plusieurs hyperviseurs comme //virtutalbox// ou //openstack// mais aussi les fournisseurs de cloud publiques : AWS, Azure ... Vous avez une documentation plus spécifique sur [[https://docs.docker.com/machine/drivers/openstack/|openstack ici]]. Normalement, toutes les machines utilisées sont générées par //docker-machine//. Mais certaines requêtes de //docker machine// utilisent un port inhabituel qui est filtré sur le réseau wifi ce qui perturberait le TP. Il faut donc l'utiliser depuis une machine qui se trouve dans le même réseau. Pour ce TP, il est donc plus simple de l'utiliser depuis le //manager// pour créer les 2 //workers//. * Supprimez les //workers// du début du TP mais conservez le manager. * Sur le manager, vérifiez que docker-machine est installé avec l'utilitaire de complétion. Si ce n'est pas le cas, suivez les instructions d'instalation qui sont [[https://docs.docker.com/machine/install-machine/|ici]] et [[https://docs.docker.com/machine/install-machine/#install-bash-completion-scripts|là]]. La commande docker-machine est assez simple car elle signale la plupart des options qui lui manque. La commande de création est [[https://docs.docker.com/machine/reference/create/|documentée ici]], les [[https://docs.docker.com/machine/drivers/openstack/|options relatives à openstack là]]. CE qu'il faut comprendre est que la commande va contacter les API openstack et s'occuper de l'installation des machines à votre place. Il faut donc lui fournir toutes les informations qui vous serait nécessaire pour faire la même chose. Vous pouvez aussi bien sur suivre la progression de son travail en consultant le site [[https://cloud-info.univ-lyon1.fr]]. Vous devez savoir que : - le driver est ''openstack'' - l'url d'authentification est ''https://cloud-info.univ-lyon1.fr:5000/v3/'' - le nom d'utilisateur et le mot de passe sont ceux qui vous permettent de vous connecter (voir la remarque plus loin). - le //tenant// est le projet //openstack// où créer les machines Il faut donner son identifiant avec l'option ''openstack-tenant-id'' et lui donner la valeur ''9b0d64f0d1d241d8b8afbd60caac615a'' ((Cette information se trouve dans le fichier généré par le menu ''fichier openstack rcv3'' en haut à droite de l'interface horizon)). - le nom de l'image à utiliser est celui du snapshot habituel ''snap-docker-machine''((Il est possible de lui faire utiliser une image standard à condition de lui donner toutes les options qui permettent d'adapter docker à notre environnement, mais cela est fastidieux et il serait impossible à vos enseignants de faire les corrections)). **Quelques conseils :** il faut bien spécifier les options nécessaires au fonctionnement à l'université. Le proxy via l'option //engine-env// qui permet de spécifier une variable d'environnement((donnez une valeur pour ''HTTP_PROXY'' et ''HTTPS_PROXY'')). Cela permettra de configurer le docker installé pour l'utilisation du proxy de l'université et s'utilise de cette manière : docker-machine ... --engine-env HTTP_PROXY=http://proxy.univ-lyon1.fr:3128 \ --engine-env HTTPS_PROXY=http://proxy.univ-lyon1.fr:3128 \ --engine-env NO_PROXY=.univ-lyon1.fr \ --engine-opt "dns 10.10.10.10" \ --engine-opt "log-level debug" \ ... NOMDELAMACHINE Lorsque docker-machine a commencé à créer une machine, il en garde une trace et interdit de réutiliser le même nom. Vous pouvez effacer ces traces en utilisant la commande ''docker-machine rm -f NOMMACHINE''. Protection de votre mot de passe: Attention, vous vous connectez au serveur openstack avec votre //login// et mot de passe de l'université. Pour éviter de laisser votre mot de passe en clair dans la ligne de commande, n'utilisez pas l'option ''openstack-password''. Vous devez stocker votre mot de passe dans la variable d'environnement ''OS_PASSWORD''. Pour cela copier/coller la commande : export OS_PASSWORD=$(python3 -c "import getpass; pa=getpass.getpass('Mot de passe : '); print (pa)") Ensuite, vous pourrez utiliser la variables d'environement ''$OS_PASSWORD'' Erreur: Si vous obtenez l'erreur suivante faite un ''export NO_PROXY=.univ-lyon1.fr'' Error creating machine: Error in driver during machine creation: Post https://cloud-info.univ-lyon1.fr:5000/v3/auth/tokens: Forbidden Erreur: Vous aurez sans doute l'erreur suivante : Error creating machine: Error running provisioning: Unable to verify the Docker daemon is listening: Maximum number of retries (10) exceeded Elle est du à l'utilisation du proxy, mais normalement, elle n'a pas empêcher le lancement des machines. Donc vous pouvez simplement l'ignorer. * En utilisant docker-machine, créez 2 machines qui serviront de nœuds de travail pour //Swarm//. Appelez-les VOTRELOGIN-work1, VOTRELOGIN-work2. Vous pouvez ensuite voir les nœuds gérés par docker-machine via la commande ''docker-machine ls'', en supprimer une par ''docker-machine rm'' ... ''docker-machine'' stocke ses informations dans le répertoire ''.docker/machine/...''. * Où sont les clefs ssh des machines que vous avez créées ? Pour exécuter des commandes docker sur ces machines il y a 3 méthodes : - Vous pouvez utiliser les variables d'environnement docker fixées par la commande ''docker-machine env NOMMACHINE''. - Vous pouvez vous connecter sur les machines via la commande ''docker-machine ssh NOMMACHINE'' - Vous pouvez exécuter les commande à distance via la commande ''docker-machine ssh NOMMACHINE COMMANDE''. Par exemple docker-machine ssh NOMMACHINE sudo docker ps * Ajouter à votre cluster //swarm// les 2 nœud de travail créés par docker machine.